Auteur(s) :
Ben Simmou
Yassine
Type : Thèse/Mémoire
Editeur(s) : Ministère de la Justice et des Libertés. Institut Supérieur de la Magistrature
Année de Publication :
2013
Langue : FR
Collation :
75 p.
: réf. p. 57-58, annexes
Mots-clés :
DROIT PENAL ; TECHNOLOGIE DE L'INFORMATION ; VIOL ; COMMUNICATION ; INFRACTION ; PEINE JUDICIAIRE ; ENQUETE ; DONNEE STATISTIQUE ; DROIT INTERNATIONAL ; COOPERATION INTERNATIONALE ; POLITIQUE SOCIALE ; ABUS DE CONFIANCE ; PROTECTION SOCIALE ; LEGISLATION ; LOI ; CRIMINALITE ; MINEUR ; REPRESSION DES FRAUDES ;
PEDOPHILIE.
Au Maroc, la popularité des réseaux sociaux et des sites de partage des données n'est plus à démontrer. Sauf que la vulgarisation du Web 2.0 a ses effets collatéraux et révèle de nombreuses activités frauduleuses. Ceci dit, parmi les crimes les plus dangereux qui suscitent une attention particulière, il y a lieu de citer ceux dont les victimes sont des mineurs. A ce sujet, plusieurs questions se posent, notamment, autour de la façon à cause de laquelle ces mineurs deviennent les victimes d'une infraction électronique, des personnes impliquées et pénalisables, et autour de l'arsenal législatif marocain pour faire face à ce fléau de cybercriminalité, sans oublier, les mesures prises par la communauté internationale pour y faire face. Et enfin, en plus de la répression des fraudes, quel rôle joue l'autorégulation sociale. Les réponses à ces interrogations sont traitées dans les deux parties de cette thèse.
N° de la microfiche : 040915