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Examen indépendant du Programme de coopération technique
Collectivite Auteur :
FAO
Année de Publication :
2005
Type : Rapport
Thème : Agriculture
Couverture :
Maroc
URL Article :
http://www.fao.org/docrep/meeting/009/j4750e/j4750e00.htmURL Source :
www.fao.org 
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(231,28 kB) Examen indépendant du PCT-FAO.pdfRésumé/Sommaire :
Le Programme de coopération technique (PCT) de la FAO a été lancé en 1976 avec des ressources du budget ordinaire de l’Organisation afin de répondre à des demandes urgentes d’assistance technique émanant des pays membres. Entre 1976 et la fin de 2004, 8 674 projets PCT ont été approuvés pour un montant total de 983 millions de dollars EU. Les critères régissant le PCT n’ont guère évolué sauf en ce qui concerne le plafond financier et la durée maximale des projets qui ont été portés en 1991 de 250 000 dollars EU à 400 000 dollars EU et de 12 à 24 mois, respectivement. Cependant, compte tenu des importants changements intervenus dans le programme et dans le contexte dans lequel il opère, un examen approfondi du mécanisme du PCT s’est avéré nécessaire.
Le soutien des bailleurs de fonds aux projets ayant diminué, le PCT a pris peu à peu plus d’importance dans le Programme de terrain de la FAO. Dans nombre de pays, le PCT est aujourd’hui la principale source de financement des projets de terrain de la FAO. De ce fait, le PCT doit prendre une part plus active à l’exécution d’activités de terrain qui complètent des travaux normatifs, ce qui peut parfois être contraire à son objet qui est de répondre à la demande. Le soutien aux projets PCT sur le terrain a aussi évolué, le nombre des spécialistes internationaux ayant diminué la responsabilité du soutien technique incombe maintenant au Siège de la FAO et aux agents au niveau régional. Par ailleurs, les demandes d’aide d’urgence au titre du PCT ont augmenté. Les priorités de la coopération au développement ont évolué, à mesure que les pays renforçaient leurs compétences et leurs capacités nationales, élaboraient des stratégies nationales de lutte contre la pauvreté et la faim et mettaient en place de nouvelles modalités de coopération avec leurs partenaires internationaux de développement
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