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Politique maritime : Les ports algériens à l’heure du désengagement de l’État

Auteur : Mohamed-Chérif Fatima Zohra
Collectivite Auteur : Institut Français de la Mer (IFM)
Année de Publication : 2007
Type : Cours
Thème : Milieux marins
Couverture : Algérie

Résumé/Sommaire :

Avec une gestion étatiste qui a duré depuis l’indépendance du pays les ports algériens ont souffert du manque d’investissement et de l’abus de la part des sociétés nationales qui sont les principaux chargeurs. Face à cette situation, les pouvoirs publics réagissent en décrétant une réforme de la législation portuaire, ils espèrent attirer les investisseurs privés nationaux et étrangers.

Les ports créent des emplois. Ils génèrent 14 000 emplois directs sur l’ensemble des ports algériens. Le port d’Alger, le principal port algérien, regroupe à lui seul une population de 12 000 employés. L’Algérie ne possède pas de chantiers navals donc il n’y a pas d’emplois induits dans le secteur. Le port regroupe aussi une population diversifiée vivant des transports maritimes telle que : les armateurs, consignataires, transitaires, dockers et le personnel de l’administration portuaire, ce sont des emplois induits. Les emplois générés par ces pôles sont étroitement liés au volume et à la valeur du trafic. Les ports pétroliers (Arzew, Skikda, et Béjaia) génèrent peu d’emplois. La littoralisation de l’industrie algérienne a fait des villes portuaires comme Annaba, Arzew et Skikda de véritables pôles de développement et n’a fait que renforcer la polarisation côtière héritée de la colonisation.

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