Auteur(s) :
Benmessaoud
Khadija
Type : Article
Titre Publication en série :
Bulletin Economique et Social du Maroc
Editeur(s) : Institut Universitaire de la Recherche Scientifique
Année de Publication :
2011
Langue : FR
Collation :
n. 168,
p. 117-134
: notes, réf.
Mots-clés :
GOUVERNANCE ; INVESTISSEMENT DIRECT ; INVESTISSEMENT ETRANGER ; ALGERIE ; TUNISIE ; CAPITAL ; PAYS EN DEVELOPPEMENT ; POLTIQUE ECONOMIQUE ; POLITIQUE SOCIALE.
Aujourd'hui, il est admis que les investissements directs étrangers (IDE) jouent un rôle important pour activer le développement industriel dans les pays d'accueil et en particulier dans les pays en développement. En effet, les IDE se concrétisent non seulement par des entrées de capitaux pour le pays d'accueil, mais aussi par un apport de technologie et de savoir-faire ainsi que par l'accès à de nouveaux marchés. Or, pour pouvoir les attirer et profiter de leurs apports bénéfiques, un pays doit avoir un environnement politique et socio-économique sain et, en un mot, une bonne gouvernance. De nombreuses études soulignent, en effet, l'importance cruciale de celle-ci sur les entrées d'investissements étrangers et l'efficacité des politiques d'attractivité dépend du cadre institutionnel dans lequel elle est planifiée et exécutée. Dans ce travail, on essaie, après une brève définition des concepts et une revue de littérature, d'analyser les performances en matière de gouvernance et d'entrées d'IDE en Algérie et dans d'autres pays de l'UMA. On présente, enfin, certaines recommandations en vue de promouvoir l'IDE.
N° de la microfiche : 045438