Auteur(s) :
Chedly
Tarifa
Collectivite(s) Auteur(s) :
Association Maghrébine pour l'Etude de la population (A.M.E.P)
Type : Actes de congrès/séminaire/atelier
Titre Séminaire / Colloque :
Population et développement régional : Actes du IXème colloque de démographie maghrébine
Année de Publication :
1995
Langue : FR
Collation :
Tome II,
P. 555-577
: tabl., graph.
Mots-clés :
MIGRATION INTERNE ; POPULATION ; ANALPHABETISME ; CHOMAGE ; DEMOGRAPHIE ; MIGRANT ; TUNISIE.
La notion de migration est étroitement liée à une notion de déplacement du lieu de résidence : mais c'est à un niveau géographique relativement important que l'on peut parler de migration et du flux migratoire. Se superposant à la croissance naturelle de la population de chaque région, les flux migratoires peuvent accélérer ou décélérer le rythme d'accroissement voire même le rendre négatif. Et la ponction opérée par la migration sur le stock population peut, dans certains cas, dépasser son accroissement naturel. D'ailleurs dans cet ordre, il convient de préciser que le recensement 1984 a montré que la population de certains secteurs frontaliers du Nord-Ouest du pays ont vu leur population baisser en nombre absolu par rapport à 1975 (Aïn Sofiane avec 2.840 contre 5.186 en 1975 ; Ouchtata avec 3.943 contre 6.205 en 1975 et Maaden avec 3.400 contre 3.938 en 1975).
N° de la microfiche : 042830