Auteur(s) :
                Bivona
                    Rosalia
        
                
                    
        
				
												
															Collectivite(s) Auteur(s) : 
                Université Sidi Mohamed Ben Abdellah. Faculté des Lettres et des Sciences Humaine Saïs-Fès
        
                
        
									
				
									Type :     Article
								
				
									 
					     :
Al Misbahia : Série Langue et Littérature 
												
				
				
				
				
													Année de Publication : 
2001
													Langue :     FR
													Collation : 
                Vol. 5,
                    P. 17-31
                    : réf.
        
								
				
				
									Mots-clés : 
POESIE ; LITTERATURE ; LANGAGE POETIQUE ; EAU.
								
			
Cette contribution est une tentative de lecture et d’analyse d’un des textes de Mohammed Dib (O Vive), grand écrivain et poète algérien. Dib romancier et poète. Mais, Souvent ce premier aspect a eu le dessus sur le deuxième, et pourtant on ne peut pas scinder facilement ces deux versants de son œuvre. Sa vocation semble liée à la grande poésie de toujours ; et c’est bien une grande poésie que celle qui jaillit de l’arc de son expérience. Son œuvre est habitée par un hermétisme qui, d'un côté peut être considéré comme une perte de transparence du sens, mais de l’autre invite le lecteur au rite d’une initiation qui lui permet de tenter d’autres voies d'interprétation. Dans le nom d’une eau, vive et brillante, protégée par le silence et le temps, dans le nom de cette poésie qui dépayse et apaise à la fois, cette contribution tente de s’intégrer à celle de Mohammed Dib. L’eau, toujours égale et toujours différente, rassurante par sa stabilité homogène, est capable de réunir les rivages, de résoudre l’énigme des espaces sans aspérités. L’eau peut vider et peut remplir, il n’y a pas de rivalité, ni de tempête, ni d’erreur.
									N° de la microfiche :     043521
				
