Collectivite(s) Auteur(s) :
Centre Marocain de Conjoncture
Type : Article
Titre Publication en série :
Maroc Conjoncture : Lettre mensuelle du Centre Marocain de Conjoncture
Année de Publication :
2014
Langue : FR
Collation :
N° 257,
P. 10-11
: tabl.
Mots-clés :
PRODUIT INTÉRIEUR BRUT ; SUBVENTION ; NIVEAU DE VIE ; REVENU NATIONAL ; CROISSANCE ECONOMIQUE ;
RÉPARTITION DE LA RICHESSE.
A l'occasion des débats sur le projet de loi de finances ou dans des analyses de suivi de la conjoncture économique et sociale, la croissance du Produit Intérieur Brut (PIB) focalise l'attention aussi bien des décideurs publics que des opérateurs privés. Comme si l'amélioration du niveau de vie de la population est tributaire du seul accroissement de la richesse. Or, cette amélioration ne peut être effective qu'à la condition que l'accumulation de cette richesse s'accompagne d'un partage plus équitable entre les acteurs qui ont contribué à sa réalisation. C'est pourquoi, dans les économies modernes, les Etats recourent très souvent au levier de la fiscalité pour corriger les distorsions de la distribution primaire. Toujours est-il que s'agissant du partage de la valeur ajoutée au Maroc, que suggère l'étude des statistiques couvrant les quinze dernières années allant de 1998 à 2012?
N° de la microfiche : 041784