Auteur(s) :
Lô Gueye
Ahmadou
Collectivite(s) Auteur(s) :
UNIVERSITÉ MOHAMED V. FACULTÉ DES SCIENCES JURIDIQUES ECONOMIQUES ET SOCIALES - AGDAL
Type : Article
Titre Publication en série :
REVUE JURIDIQUE POLITIQUE ET ECONOMIQUE DU MAROC
Année de Publication :
2006
Langue : FR
Collation :
N° 37,
p. 67-94
: réf.
Mots-clés :
THÉORIE ECONOMIQUE ; SOUVERAINETÉ ; ETAT ; ÉCONOMISTE ; SYSTÈME MONÉTAIRE ; DOCTRINE ECONOMIQUE ;
KEYNÉSIANISME ; MONÉTARISME ; NOUVELLE ECONOMIE CLASSIQUE ; STAGFLATION.
Cet article met l'accent sur les relations qui peuvent s'instaurer entre le Keynésianisme, le monétarisme et la nouvelle économie classique, et ce face au problème de la stagflation. Le Keynésianisme a été dominant dans les années 60, le monétarisme dans les années 70 et la nouvelle économie classique dans les années 80. l'environnement des années 90 quant à lui a été caractérisé par la mondialisation de l'économie, la concurrence, l'évolution des technologies avec la montée de la complexité et de l'incertitude. Toutes ces écoles économiques procèdent les unes des autres par opposition. Mais elles se trouvent toutes face au phénomène de la stagflation. Ainsi, le Keynésianisme a été vaincu par le monétarisme, qui à son tour, doit faire face à la nouvelle économie classique. L'article traite ainsi cette problématique en deux phases successives : la rivalité Keynésianisme- monétarisme en premier lieu, puis le monétarisme face à la nouvelle économie classique. L'objectif étant de faire ressortir la rupture profonde, et éventuellement le prolongement existant entre les propositions normatives inhérentes à ces différentes écoles économiques, et la pratique usuelle en matière de démarche stagflationniste.
N° de la microfiche : 041050