Auteur(s) :
Oubrahim
Abderrahim,
Benlahcen Tlemçani
Mohamed
Collectivite(s) Auteur(s) :
Ecole Nationale de Commerce et de Gestion de Tanger
Type : Article
Titre Publication en série :
Revue marocaine de commerce et de gestion
Année de Publication :
2010
Langue : FR
Collation :
N° 6,
P. 111-124
: tabl., graph., réf.
Mots-clés :
ALLIANCE ; ENTREPRISE ; STABILITÉ ; GESTION D’ENTREPRISE ; SAMIR ; PARTENARIAT ; INDUSTRIE PÉTROLIÈRE ; MAROC ; CONTRAT ;
SOMEPI ; RUPTURE D'ALLIANCE ; ALLIANCE STRATÉGIQUE.
La rupture d'alliance suite à une dissolution cession ou acquisition de la co-entreprise n'est pas synonyme d'échec car elle pourra déboucher sur une situation gagnant-gagnant pour les deux partenaires membres de l'alliance. Qualifier la rupture d'une entreprise d'un échec peut correspondre à une situation vraisemblable, mais le diagnostic de l'échec ne peut découler uniquement du constat que l'un ou l'ensemble des partenaires ait décidé de mettre un terme à leur alliance. Le départ unilatéral d'une alliance dans la majorité des cas est associé à des risques et coûts. Afin d'y remédier, les partenaires recourent à des contrats avec des clauses contractuelles stipulant les modalités de sortie d'alliance. Les coûts de négociation, les prix de rachat des parts de capital et les différentes opportunités d’investissement du prix d'opportunité post rupture conditionnent les décisions de départ, et par conséquent la stabilité de l'alliance. Cet article a pour objectif d'éclairer et de faciliter la compréhension du phénomène de rupture des alliances, et l'évaluation de leurs performances à travers une réflexion et une discussion à propos des concepts de rupture, de réussite et de succès. Ainsi, l'article essaie de dresser un panorama des facteurs explicatifs de la stabilité des alliances. Il essaie également d'établir une nouvelle grille d'analyse des ruptures afin de juger de la stabilité ou non des alliances comme des formes organisationnelles hybrides.
N° de la microfiche : 042148