Auteur(s) :
Koutouki
Konstantia,
Perron-Welch
Frédéric
Collectivite(s) Auteur(s) :
Institut de la Francophonie pour le Développement Durable
Type : Article
Titre Publication en série :
Liaison - Energie- Francophonie
Année de Publication :
2016
Langue : FR
Collation :
N° 101,
P. 67-72
: ill., réf.
Mots-clés :
INDUSTRIE ; ENTREPRISES ; NORMALISATION ; COMMERCE ;
BIODIVERSITÉ ; PROTOCOLE DE NAGOYA ; RESSOURCE GÉNÉTIQUE ; RESPONSABILITÉ SOCIALE.
En 2010, année où le protocole de Nagoya a été négocié, une enquête pour le Forum de Davos a révélé que 27% des chefs d'entreprises ont assimilé la perte de la biodiversité à une perte commerciale. Parmi les consommateurs interrogés pour le baromètre de la biodiversité de 2015, 87% des répondants croient qu'il est important de contribuer personnellement à la conservation de la biodiversité. Un intérêt est fortement formulé à ce propos (95%) dans les pays latino-américains, en Inde et se développe aussi dans les autres pays. Ceci n'est pas étonnant considérant l'importance de la biodiversité non seulement en termes de services écosystémiques, mais aussi pour le commerce international. Considérant l'importance des ressources génétiques comme matière première pour une variété de produits, la responsabilité sociale des entreprises envers l'utilisation des ressources génétiques et les savoirs traditionnels associés est fondamentale pour une mise en oeuvre fonctionnelle du protocole.
N° de la microfiche : 042243