Auteur(s) :
Gadji
Abraham,
Foua
Hermann
Collectivite(s) Auteur(s) :
Institut de la Francophonie pour le Développement Durable
Type : Article
Titre Publication en série :
Liaison - Energie- Francophonie
Année de Publication :
2016
Langue : FR
Collation :
N° 101,
P. 100-102
: ill.
Mots-clés :
COTE D'IVOIRE ; CONVENTION INTERNATIONALE ; LÉGISLATION ; AFRIQUE ;
PROTOCOLE DE NAGOYA ; RESSOURCE GÉNÉTIQUE ; BIODIVERSITÉ.
La Côte d'Ivoire, en ratifiant la Convention sur la Diversité Biologique (CDB) le 14 novembre 1994, s'est engagée comme les autres Etats parties à conserver et à utiliser durablement l'ensemble des ressources biologiques présentes sur son territoire. La CBD constitue également le premier instrument juridique international encadrant, de manière générale, l'accès et le partage des avantages découlant de l'utilisation des ressources génétiques et des connaissances traditionnelles associées (APA). En effet, la diversité biologique est source d'inestimables richesses, raison pour laquelle la CDB invite les Etats parties à prendre les mesures nécessaires pour assurer la conservation et l'utilisation durable des ressources biologiques. Dans ce contexte, et à l'image de tous les Etats parties de la CDB, la Côte d'Ivoire, s'est lancée avec l'aide de divers partenaires institutionnels internationaux dans un processus de mise en oeuvre du protocole de Nagoya sur l'accès et le partage des avantages tirés de l'utilisation des ressources génétiques. A cette fin, la Côte d'Ivoire devra faire face à certains défis d'ordre institutionnel et juridique.
N° de la microfiche : 042250