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Le climat dans tous ses états : une science qui alerte, le GIEC qui témoigne

Auteur(s) : Van Ypersele Jean-Pascal
Type : Article
Titre Publication en série : LIAISON ENERGIE-FRANCOPHONIE : 2015 : TRANSFORMER LES DEFIS EN OPPORTUNITES D'ACTIONS
Editeur(s) : Institut de la Francophonie pour le Développement Durable
Année de Publication : 2015
Langue : FR
Collation : N° 100, p. 35-37 : ill.
Mots-clés : ENVIRONNEMENT ; ECOLOGIE ; DEVELOPPEMENT DURABLE ; PAYS EN DEVELOPPEMENT ; COOPERATION INTERNATIONALE ; CONVENTION INTERNATIONALE ; CLIMATOLOGIE ; SOCIETE ; COMPORTEMENT HUMAIN ; NATIONS UNIES.

Résumé/Sommaire :

La planète a la fièvre. Le GIEC est à son chevet, et a diagnostiqué une indigestion au CO2. La santé humaine, la sécurité alimentaire, la biodiversité et le développement durable lui-même sont menacés par les changements climatiques. Le GIEC alerte, depuis plus d’un quart de siècle, mais il montre aussi que les options sont à portée de main pour protéger la vie sur Terre d’une fièvre excessive, et même pour la prévenir. Créé en 1988 par les Nations unies, le GIEC a pour mission d’évaluer et de synthétiser les informations scientifiques-clés à propos des changements climatiques, de leurs conséquences, et des éléments de solutions qui permettraient de diminuer la gravité de ces conséquences (adaptation) ou de les prévenir (atténuation par la réduction des émissions). Le dernier rapport complet du GIEC, terminé en 2014, a été préparé par plus de 800 auteurs du monde entier, et comporte près de 5000 pages. Et pourtant, les indicateurs climatiques deviennent de plus en plus préoccupants : La température moyenne à la surface du globe et le niveau des mers continuent à augmenter, tout comme la concentration en gaz à effet de serre (en particulier le CO2 ) qui est devenu le principal facteur de réchauffement. La plupart des glaciers reculent, et les calottes du Groenland et de l’Antarctique ont commencé à fondre. Les vagues de chaleur se multiplient, de même que les pluies très intenses, qui favorisent les inondations et glissements de terrain. Il est grand temps que les pays développés fassent tous de la réduction de leurs émissions une véritable priorité, et qu’ils deviennent partenaires des pays en développement pour les aider à se développer d’une manière beaucoup plus propre, et à s’adapter, pour autant que ce soit possible, à la part des changements climatiques devenue inévitable.

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N° de la microfiche : 042206



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