Abhatoo - Centre Nationale de Documentation

À quelques jours du forum mondial de l’eau de Marseille et à quelques mois du XIVe sommet de la Francophonie prévue pour octobre 2012 à Kinshasa, la reconnaissance du droit à l’eau (comprenant l’assainissement) constitue une exigence humanitaire. Le droit à l’eau, reconnu en 2010 par l’Assemblée Générale des Nations Unies, doit désormais devenir une réalité. Au-delà de sa reconnaissance par les États, les sociétés doivent le mettre en œuvre dans les plus brefs délais. Un droit opposable, un droit dont la méconnaissance sera sanctionnée. Les moyens exigés sont surmontables, ils sont tributaires de la volonté politique.