Auteur(s) :
Dia Touré
Fatimata
Collectivite(s) Auteur(s) :
Institut de l’Énergie et de l'Environnement de la Francophonie
Type : Article
Titre Publication en série :
Liaison - Energie - Francophonie
Année de Publication :
2007
Langue : FR
Collation :
N° 75,
P. 52-58
: ill., cartes
Mots-clés :
SÉNÉGAL ; CLIMAT ; PROTOCOLE ; LUTTE CONTRE ; EFFET DE SERRE ; PROTECTION DE L’ENVIRONNEMENT ; AGRICULTURE ; TOURISME ;
POLITIQUE NATIONALE ; PROTOCOLE DE KYOTO ; CHANGEMENT CLIMATIQUE ; CONVENTION CADRE DES NATIONS UNIES SUR LES CHANGEMENTS CLIMATIQUES.
Le Sénégal, situé à l'extrême ouest du continent africain, fait partie des pays les moins avancés avec une situation de pauvreté marquée, surtout en milieu rural, qui contribue à 65% à la pauvreté nationale pour une population de moins de 55% du total. Le Sénégal est un pays sahélien, dont le climat est soumis à des influences atmosphériques et autres facteurs géographiques déterminants dans les conditions de vie des populations à majorité pauvre. Il dispose d'une façade maritime de 700 km de côte, tributaire de l'élévation du niveau de la mer et de l'érosion côtière. Ainsi, le Sénégal se met à s'approprier des questions de changements climatiques, timides mais sûres, dans les politiques de développement économique et social. C'est ainsi que la démarche suivie par le Sénégal pour la mise en place d'une politique nationale de lutte contre les changements climatiques se traduit par la saisie des opportunités offertes par la CCNUCC (Convention Cadre des Nations Unies sur les changements Climatiques) et le protocole de Kyoto. Pour ce, le pays a œuvré pour disposer de tous les outils juridiques, institutionnels, techniques et scientifiques exigés par ces accords internationaux devant lui permettre de bénéficier de transfert de technologies propres utiles pour asseoir un développement durable.
N° de la microfiche : 041587